Zones Humides du Maroc

This chapter appeared in the same book as the previous blog post about the  Environmental education in Sidi Boughaba (this is useful to compare what we should do and what we actually do ). Benessaiah, N. 2011. Wetlands and the Islamic perception of nature. In: Papayannis, T. & Pritchard, D. E. (2011), Culture and Wetlands in the Mediterranean: an Evolving Story, Athens, Med-INA. pp. 362-371. Abstract : Islam is the main religion in the southern Mediterranean, and for this reason it is important for the Mediterranean Wetlands Initiative and any other organisation working towards the conservation of natural resources, to examine its perspectives, principles and laws concerning the environment. A better understanding of Islamic traditions can lead to more effective, locally-tailored plans for the conservation of water and wetlands. Water is a central theme in the Qur’an, in religious practice, in Islamic Law – Shari’a and in Islamic society at large. Each of these aspects is

Belemlih, A. 2011. Environmental education in wetland sites: the case of the Centre National d’Education Environnementale de Sidi Boughaba, Morocco. In: Papayannis, T. & Pritchard, D. E. (2011), Culture and Wetlands in the Mediterranean: an Evolving Story. Athens, Med-INA. pp. 317-324.     Abstract Wetlands have multiple values but face many threats and are complex ecosystems. Interventions for their conservation are not easy to make and must involve multiple actors; environmental education plays a fundamental role in raising awareness and helping the parties involved to act in synergy. In order to contribute to this awareness, the wetland of Sidi Boughaba (SBG) is a good example of international institutions (the European Union, BirdLife International, the Society for the Protection of Animals Abroad ‘SPANA/ UK’) and national ones (the Government of Morocco, the Société Protectrice des Animaux et de la Nature ‘SPANA/Maroc’) joining forces, in this case to create a Nat

Le suivant est "ce que les politiciens et les businessmen corrompus ne veulent pas entendre et admettre". The following is "what the politicians and the corrupt businessmen do not want to hear and admit". Anfuso G. & Nachite D. 2011.   Climate change and the Mediterranean southern coasts .   In : Jones A.L. & Phillips M. (editors): Disappearing destinations: climate change and future challenges for coastal tourism.  CABI, Oxford.   Cet article/chapitre représente le résumé de la recherche de ces deux chercheurs (Giorgio Anfuso, Universidad de Cadiz et Driss Nachite, Université Abdelmalek Essaadi, Tétouan ) sur les côtes marocaines et surtout celles de la région de Tétouan. Je vous présente ici quelques passages extraits de   GoogleBooks  : Sea Level Rise trend in the Mediterreanean littoral of Morocco Cazenave   et al .   (2001) investigated sea level changes in the Mediterranean Sea in the 1993-1999 period through data obtain

Lagune de Smir , Flamants rose ( Phoenicopterus roseus ), et engins de destruction massive Lagune de Smir, 25 septembre 2011

Pour ne pas oublier la zone humide de Smir

Un nouvel article sur la structure et l’organisation trophique du peuplement macrobenthique de la lagune de Smir a été publié dans le Bulletin de l’Institut Scientifique . Chaouti A. & Bayed A. 2011. Structure et organisation trophique du peuplement macrobenthique de la lagune méditerranéenne de Smir (Maroc). Bulletin de l’Institut Scientifique, Rabat, section Sciences de la Vie , 33 (1) : 1-12.  Résumé .   La structure de la macrofaune de la lagune côtière de Smir (nord-ouest du Maroc) a été étudiée à l’aide d’un suivi de 10 campagnes d’échantillonnage, de mai 1999 à novembre 2000. Les 37 taxons identifiés et 218 810 individus récoltés sont dominés par les crustacés, les polychètes et les mollusques. Les crustacés Cyathura carinata , Corophium acherusicum et Melita palmata dominent à plus de 90% l’abondance de la macrofaune de la lagune. La structure de la macrofaune dans les stations proches de la communication avec la mer (aval) est différente de celle des station

L’Ibis falcinelle se reproduit dans l’héronnière de Smir pour la première fois. La Spatule blanche se reproduit à l’intérieur des marais pour la première fois depuis son installation dans l’héronnière de Smir en 1994. Eh oui ! Les espèces trouvent toujours la zone humide de Smir très attractive mais notre Gouvernement ainsi que Ritz-Carlton et Sienna Group ont d’autres opinions. Détails: Amezian, M., El Khamlichi, R. & Elbanak, A. 2012. Breeding of Glossy Ibis Plegadis falcinellus in the mixed heronry adjacent to Smir marshes, northern Morocco. Alauda 80: 33-38.

- Quelques vidéos sur l’état de la lagune de Smir avant, en cours et après la destruction .  - Some videos about the state of the Smir lagoon before, during and after the destruction. - Algunos videos sobre el estado de la laguna Smir antes, durante y después de la destrucción. La lagune de Smir avant la destruction: La lagune de Smir en cours de la phase préparatoire de la destruction, v 1: La lagune de Smir en cours de la phase préparatoire de la destruction, v 2: La lagune de Smir en cours de la phase finale de la destruction:

Le développement du projet Ritz Carlton Tamuda Bay, présenté par Sienna Investment Group (société marocco-britannique, basée à Rabat, qui gère le fonds d'investissement en charge de la promotion du Ritz Carlton Reserve Tamuda Bay), en juillet 2010, se poursuit. Conçu par le cabinet d'architectes américain WATG, à l'image de Port Grimaud en France ou Fisher Island aux Etats-Unis, le projet du premier Ritz Carlton d'Afrique aménagé autour d'une lagune et d'une marina intérieure (première au Maroc) serait livré dans les temps, selon les promoteurs. A date d'aujourd'hui, une des étapes la plus décisive et la plus onéreuse du projet est maîtrisée. Il s'agit de la phase de terrassement et de préparation de la lagune ( 130 ha ), où seront construites les villas, avancée aux deux tiers approximativement, en plus du remblaiement de près de 200.000 m3 de terre, soit l'équivalent de 80 piscines olympiques ou plus de 11.000 chargements de camions. Dan

Le Maroc étant un pays signataire de la convention internationale pour la protection des zones humides ainsi que celle de la nature et des oiseaux migrateurs est tenu de protéger ces zones qui représente un grand intérêt pour la biodiversité et les oiseaux migrateurs. Par ailleurs le Maroc se vante d’être parmi les pays respectueux de l’environnement et s’est engagé dans un processus depuis 2009 pour l’élaboration d’une charte nationale pour l’environnement et le développement durable. Il est tout à fait légitime de se poser la question de voir si ces déclarations officielles se répercutent sur sur le terrain et dans la réalité ou bien ils représentent seulement des slogans pour se faire une image virtuelle de notre pays en matière de respect de l’environnement et de protection de notre patrimoine naturel. En analysant la situation qui prévaut dans trois zones humides parmi les plus importante au Maroc : la Moulouya , Oued Chbika et Lagune Smir, nous pouvons démontrer sans équi